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Premier client Toits de Province : « En 20 ans, cette maison a abrité tous les événements qui ont fait notre famille ! »

Premier client Toits de Province : « En 20 ans, cette maison a abrité tous les événements qui ont fait notre famille ! »

C’est en juin 2000, à Grenay en Isère, que Monsieur et Madame Ripoll se voyaient remettre les clés de leur maison, la première sous la marque Toits de Province faisant partie du groupe Ganova. A l’occasion de cet anniversaire et des 40 ans de Ganova, Jean-Laurent Ripoll a repris contact avec nous pour évoquer le souvenir de ce chantier et les années passées dans cette maison qui a évolué au rythme de la famille…

 

Il y a 20 ans, comment avez-vous connu de Toits de Province ?

Jean-Laurent Ripoll : A cette époque, il y avait un village de constructeurs. Nous y sommes allés avec ma femme car nous nous étions dit « pourquoi ne pas faire construire une maison ». Pour nous, c’était le moment ! La première maison que nous avons vue, c’était celle de Toits de Province. Ce jour-là, nous avons rencontré Frédéric Gallego, le directeur. Ce premier contact avait été très bon, mais il nous avait d’abord conseillé de trouver un terrain et de revenir le voir. C’est ce que nous avons fait en seulement 3 semaines. Même si nous avions consulté un autre constructeur, c’est Toits de Province que nous sommes retournés voir car le projet nous avait séduits. Et nous nous sommes engagés avec vous !

 

Toits de Province faisait partie du groupe Ganova mais avait peu de références. Qu’est-ce qui vous a finalement donné confiance ?

Jean-Laurent Ripoll : C’est sans doute le premier contact que j’ai eu avec le directeur de Toits de Province. Nous avons trouvé Monsieur Gallego très sympathique. Il avait l’air d’être une personne simple à qui on pouvait faire confiance. Il nous avait décrit très clairement le projet mais aussi la logique des maisons Toits de Province. Et la proposition rentrait dans notre budget. Ensuite, nous avons été en relation avec Roland Celette, l’un des commerciaux, avec lequel la relation a également été très bonne.

 

Vue du jardin avec piscine de la première maison Toits de Province.

 

Bien accompagnés des plans jusqu’à la fin du chantier

 

Comment s’est passé l’accompagnement sur la partie projet ?

Jean-Laurent Ripoll : Nous avons été très bien accompagnés sur les plans pour matérialiser la maison que nous voulions. Par rapport au modèle choisi, nous avons pu faire des choix et quelques évolutions, notamment à l’extérieur, et nous avons opter pour un double garage. Les plans répondaient donc totalement à nos besoins de l’époque.

 

Vous souvenez-vous de la phase chantier ?

Jean-Laurent Ripoll : Bien sûr, c’est un jeune conducteur de chantier qui s’est occupé de notre projet : Stéphane Rubio. On devait avoir à peu près le même âge. Nous nous sommes très bien entendus. C’était vraiment un gars super ! Ce que nous appréciions, c’est qu’il était très présent, très réactif. Sur un chantier, il peut toujours y avoir des aléas mais il faisait toujours le nécessaire. Tout a toujours été bien pris en compte, bien géré. Quand il y avait un problème, Stéphane Rubio faisait en sorte de le régler rapidement. S’il le fallait, il envoyait une équipe pour apporter la solution…

 

L'intérieur spacieux de la maison de Monsieur et Madame Ripoll.

 

Une maison qui a évolué au rythme de ses occupants

 

Les délais de cette première maison Toits de Province avaient-ils bien été respectés ?

Jean-Laurent Ripoll : Parfaitement ! A la signature du contrat, on nous avait annoncé une livraison en juin et nous avons eu les clés à la fin du mois de juin 2000. Cela a été un chantier plutôt rapide, sans retard. Pour nous, en tant que clients, c’était top ! A cette époque, nous étions locataires et nous avons pu donner notre dédite au bon moment et enchaîner avec l’installation dans notre nouvelle maison.

 

Décrivez-nous cette maison…

Jean-Laurent Ripoll : Il s’agissait d’une maison de plain-pied. Nous étions jeunes et nous avions moins de moyens qu’aujourd’hui. Le terrain que nous avions trouvé était immense et plus cher que ce qu’on avait imaginé. Il nous a donc fallu revoir un peu notre projet et réduire la hauteur de la maison. Nous avons enlevé la mezzanine pour rester sur l’idée donc d’une maison sur un seul niveau. Nous avons été très bien accompagnés dans ce changement de projet. C’était une maison avec un double-garage, quatre chambres, une cuisine ouverte sur un salon d’une trentaine de m².

 

En 20 ans, comment avez-vous fait évoluer la maison ?

Jean-Laurent Ripoll : Lorsque nous avons fait construire, nous n’avions qu’un enfant. Entre temps, est venu une 2e, puis un 3e enfant. Il a nécessairement fallu transformer la maison au fil des années. A l’arrivée de notre dernier enfant, nous avons conservé la moitié du garage et prolonger l’arrière pour réaliser un premier agrandissement. Nous avons aménagé un petit bureau mais également une grande cuisine. Cela nous a permis de fermer l’ancienne cuisine et d’en faire un espace WC, douche et buanderie. Le second agrandissement est un peu plus récent. Les enfants grandissants, nous avions besoin d’encore plus de place pour accueillir tous les copains. Pour avoir un salon encore plus spacieux, nous avons donc fait faire une véranda avec une grande ouverture dans le salon. Nous avons désormais un espace très sympa, vraiment très agréable. Nous avons apporté beaucoup de volume à la pièce.

 

Vue aérienne de la première maison Toits de Province.

 

« C’est une maison de 20 ans qui a bien vieilli, qui est confortable, je n’ai rien à dire ! »

 

Cette maison a accompagné votre vie de famille. Comment a-t-elle vieilli ?

Jean-Laurent Ripoll : Aujourd’hui, c’est une maison qui a 20 ans et il n’y a aucun problème ! Elle a bien vieilli, elle est confortable, je n’ai rien à dire. Elle a abrité tous les événements qui ont fait notre famille et nous y sommes très attachés. Elle est d’ailleurs moderne car entre la maison de juin 2000 et celle d’aujourd’hui, elle a évolué en même temps que notre famille et selon nos capacités financières. Ça fait maintenant un ensemble vraiment sympathique.

 

A l’occasion des 20 ans de Toits de Province, vous avez pris contact avec nous via Facebook. C’était important pour vous ?

Jean-Laurent Ripoll : Lorsqu’on passe sur l’A43, nous apercevons les bureaux de Toits de Province. Et c’est vrai qu’à chaque fois, avec ma femme, nous repensons à toute l’équipe qui nous a accompagnés. Nous avions eu de très bons contacts. Monsieur Celette était un vendeur très sympa. Et l’autre jour, lorsque je suis tombé sur une publication de Toits de Province sur Facebook, je me suis dit que je ne pouvais pas faire autrement que faire un commentaire pour évoquer notre expérience. Quand on est content, ça fait du bien de se l’entendre dire. Et nous, 20 ans après, nous sommes très contents ! D’ailleurs, quelques années après, nous avons conseillé à mes parents de faire construire avec Toits de Province. Ils ont aussi été très satisfaits et aujourd’hui encore, ils sont très contents de leur maison.

Monsieur Ripoll, heureux propriétaire de la première maison Toits de Province.